dimanche 28 mai 2017



Paris 23 mai 2017


N'hésitez pas  faire connaitre ce document. Il dénonce en quelques phrases tous les principaux mensonges qui font croire que les éoliennes sont la solution de la Transition Energétique .
En réalité ces machines sont une erreur stratégique majeure.


L’éolien en France ? Pour quoi faire ?

Quelques questions simples

Diminuer les rejets de gaz à effet de serre ?            
NON 95% de notre électricité n’émet pas de Gaz à effet de serre (record des pays industrialisés) et on ne peut pas faire mieux. L’intermittence des renouvelables les augmente à cause du soutien obligatoire de centrales thermiques.

Accroître la sécurité d’approvisionnement ?            
NON Leur disponibilité fantaisiste ne permet pas de compter sur les renouvelables (jours sans vent, pas d’électricité).

Réduire le coût de l’électricité ?       
NON Courant acheté prioritairement (que l’on en ait besoin ou pas) payé aux promoteurs 2 à 4 fois plus cher que le « mix » EDF. Compensé par une ponction sur votre facture EDF : Voir la CSPE, de 7 milliards cette année, mais qui atteindra 20 milliards par an d’ici 10 ans. Le prix de notre électricité « explose », au détriment du pouvoir d’achat des Français et de leur industrie.
Seuls quelques affairistes près du pouvoir (le lobby éolien) profitent de ce système immoral

Produire une électricité de proximité ?        

NON Nécessité de raccordement au réseau, avec 4000 km de lignes haute tension et des milliers de pylônes et de transformateurs électriques supplémentaires

Bon pour notre balance des paiements ?     
NON Et même catastrophique : Tout le matériel (ou presque) est importé, principalement, d’Allemagne, du Danemark et maintenant de Chine.

Bon pour l’emploi ?   
NON Peu d’emploi, sauf pour les chantiers de montage, avec de la main d’œuvre généralement importée car moins chère. Même les centres de contrôle de « nos » éoliennes sont pour la plupart situés en Allemagne, voire au Canada.

Équilibrer le réseau ?
NON Les renouvelables déséquilibrent le réseau par les brusques variations de production des éoliennes, avec des risques grandissants de « black-out ».

Bon pour l’environnement ?  
NON Bientôt 25000 socles pesant chacun 1500 tonnes de béton armé indestructible, enterrés à perpétuité dans nos champs. Et les forêts, les zones protégées ? Les espèces « protégées »,  voire en voie de disparition, auxiliaires précieux de l’agriculture, hachés par des pales tournant à 300 km/h. Les parcs naturels infestés, les lieux de mémoire violés… Une atteinte à la biodiversité catastrophique.

Bon pour le patrimoine ?      
NON Paysages dégradés, patrimoine massacré partout en France. Impact catastrophique sur nos monuments historiques, et moins-value de 20 à 40% pour les maisons particulières dans un rayon de plusieurs km.

Bon pour la santé ?   
NON Voir les conclusions alarmantes de l’Académie de médecine, dans son rapport du 3 mai 2017, consultable sur http://www.academie-medecine.fr/, recommandant – entre autres - de ne pas installer d’éolienne à moins de 1500 m des habitations, et de diminuer sensiblement le bruit.

Bon pour le tourisme ?         
NON Les touristes désertent les zones « décorées » d’éoliennes. Sur terre, comme en littoral. Il faut se battre pour éviter l’invasion d’éoliennes près des lieux historiques (Mont St-Michel, plages du débarquement, etc.). Seule la menace par l’UNESCO de retirer son « classement au patrimoine mondial » fait céder le lobby éolien.


MAIS ALORS POURQUOI DONC ?

Parce que cet "écolo business" éolien est particulièrement rémunérateur, grâce aux subventions publiques financées par les consommateurs d’électricité.

Parce que certaines ONG et les partis « verts », au service du lobby des renouvelables qui contrôlent pratiquement les médias font croire depuis plus de 15 ans que, seuls le vent (et le soleil) produiraient une électricité « propre ».

• Parce que, de ce fait, des  politiques plus préoccupés par des considérations locales que par l’intérêt général rabâchent,dans le domaine de l'électricité,le message « les renouvelables sont complémentaires du nucléaire, et vont bientôt le remplacer " et que "nous sommes en retard sur l'Allemagne".

• Parce que des affairistes sous l’appellation de promoteurs éoliens qui produisent de l’électricité soi disant verte alors qu’elle est intermittente et polluante, exercent une pression sur les municipalités et les propriétaires de terrain, dissimulant les vastes problèmes à venir.  Pourtant ils ne sont que les agents d’intérêts financiers privés, voire parfois occultes.

Parce ces promoteurs cachent le coût du démantèlement futur de ces machines 
Provisionné (officiellement) 50.000 € par éolienne, il revient en fait à plus de 400.000 € et en cas de défaillance (très probable) de l’exploitant, ce sera à l’agriculteur propriétaire du terrain de payer la différence, soit largement plus que ce qu’il aura engrangé pendant les 20 ans de son bail. À défaut, ce sera la commune ou la communauté de commune qui paieront (donc, encore le contribuable). Mais le socle, lui, restera à perpétuité, … prêt pour la remplaçante ?

À moins que d’ici-là, la raison l’emporte enfin dans notre pays
qui était si beau ?





Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable
contact@environnementdurable.net

jeudi 4 mai 2017



Les énergies renouvelables sont un accélérateur de pauvreté



  150 %
L'augmentation de la CSPE, qui finance les énergies renouvelables, est de 150 % sur quatre ans.

La vérité sur l’augmentation de l’électricité: la CSPE qui finance les énergies renouvelables coûte 150% d’augmentation en 4 ans et autant de rattrapage dans les trois prochaines années.
Sa part a doublé en trois ans et va être quadruplée, atteignant le tiers de nos factures au lieu des 7% annoncés au départ. Le dérapage est de 500% … !
Avec cette tendance, la note de l’électricité va doubler à court terme, créer une précarité sans précédent dans de nombreux ménages français y compris jusque dans les classes moyennes.
Il est facile de jouer avec les peurs collectives en parlant des énergies renouvelables face aux évolutions climatiques, au maintien du nucléaire, aux ruines restantes des partis écologiques. On notera tout d’abord que les énergies renouvelables critiquent les énergies actuelles, nos modes de chauffage,,, mais qu’elles fabriquent… de l’électricité !.... qu’elles critiquent par ailleurs !.... et qu’elles engendrent des pollutions de réseaux sans précédent.
A force de tordre la communication dans tous les sens, sait-on vraiment combien l’électricité se paie aujourd’hui ? Reprenons la facture d’électricité d’un ménage modeste abonné au tarif courant jour nuit comme le font des millions de Français.
20% de plus que l’évolution des prix : Explosion de la précarité énergétique qui fait bien plus de dégâts dans la population que la grippe, les vagues de froid et la canicule réunies….
Pour 1000 kwh consommés, soit un relevé moyen, quelle est l’évolution de 2012 à 2016 ? Le coût de l'électricité et taxes incluses progresse de 25 % sur 4 ans. A un rythme d’évolution du pouvoir d’achat de 1 à 2 % par an, c’est donc 20 % supplémentaires prélevés sur le budget des ménages. Ceci explique partiellement l’explosion du nombre de personnes frappées par la précarité énergétique : près de 10 millions, avec toutes les conséquences : privations, budget réduit, alimentation, maladies, conditions sanitaires, et même décès au domicile.
Les milieux d’opinion élitistes défendent le mythe des énergies renouvelables qui n’a aujourd’hui servi qu’à construire des dizaines de fortunes privées dans ces mêmes milieux privilégiés,  et à créer des océans de pauvreté. N’oublions pas que les énergies renouvelables prennent aujourd’hui l’argent des pauvres pour le donner aux riches.  
Ni l’éolien, ni le solaire ne sont efficaces techniquement, et ils coûtent une fortune alors que le vent et le soleil sont gratuits.  Leur tarification est de trois à cinq fois le prix pratiqué entre producteurs sur le marché européen. Plus leur part progresse, plus il faut les suppléer par d’autres centrales  conventionnelles gaz ou charbon dont le coût s’additionne. Dans l’augmentation de l’électricité, la part de la CSPE, qui les finance, a progressé de 150 % en 4 ans. Pour des raisons politiques, son augmentation réelle a été masquée par une créance de l’Etat chez EDF de près de 5 milliards supplémentaires, qui a par ailleurs contribué à dégrader la situation financière d’EDF. La part de la CSPE n’était que de 7 % dans les factures d’électricité de 2012. Elle est passée à 15% en 4 ans et son poids réel est en fait de 30%  si on intègre la dette de l’Etat chez EDF qui doit être remboursée sur les prochains exercices. L’augmentation faramineuse qui dépasse déjà l’évolution normale des prix de 20% actuellement devrait passer à 50% sur seulement quelques années.
Il est temps d’arrêter ce marché de dupes avant de fabriquer des centaines de milliers de nouveaux pauvres, et probablement des désordres bien plus graves.