jeudi 19 décembre 2013

France : Éolien une surfacturation illégale de plusieurs milliards d'euros?



La Cour de Justice de l’Union Européenne ( CJUE) a rendu son verdict ce jeudi 19 décembre 2013.
Les tarifs de rachat de l’électricité d’origine éolienne constituent "un avantage accordé au moyen des ressources de l'État".

La Fédération Environnement Durable prend acte de la cette décision confirmant celle du Conseil d’État qui devrait logiquement ordonner le remboursement des aides  indument perçues par les producteurs d’électricité qui en ont bénéficié depuis 2001.

Le tarif de rachat de l’électricité éolienne à un tarif garanti par  l’état serait remis en cause,  ainsi que probablement le mécanisme de la Contribution au Service de l’Électricité (CSPE),  une « écotaxe électrique », située au bas des factures d’électricité des  consommateurs et dont le taux actuel de 4 ,5% est en croissance rapide.

La (FED) demande à EDF et aux autres producteurs  d’électricité qui ont collecté cette taxe depuis son origine, de  provisionner  le remboursement des  usagers  du montant cumulé, intérêts compris. Les premières estimations faites par la FED indiquent que cette surfacturation concernant uniquement l’éolien pourrait atteindre plusieurs  milliards d’euros soit plusieurs centaines d'euros pour un ménage moyen français.

La FED constate encore une fois que les éoliennes, abritées sous le parapluie de l’écologie, n'étant pas rentables, elles survivent grâce a des aides  illégales prises sur la facture des consommateurs et entrainent  la France dans un gouffre financier sans fond.

Nuisances acoustiques des éoliennes, du nouveau !


http://www.strada-dici.com/nuisances-acoustiques-des-eoliennes-du-nouveau/
A STRADA, depuis que l’un des nôtres souffre d’une hypersensibilisation aux infra-sons, nous suivons de très près les études tendant à démontrer la réalité de ce qu’on appelle le Syndrome éolien : un ensemble de symptômes qui rend la vie impossible à certaines personnes, dans un périmètre couvrant jusqu’à 25 km des zones d’implantation d’éoliennes industrielles. L’’annonce d’une récente expertise vient de nous parvenir. Il s’agit du témoignage d’expert* de Les Huson, acousticien, à propos duquel le professeur Sarah Laurie de la fondation australienne Waubra écrit : « C’est la première fois à ma connaissance que nous avons enregistré des données acoustiques capturant ces pics de pression au moment même où une personne était en train de subir ces intenses et soudains symptômes. Les mesures montrent qu’il n’y a en fait strictement aucune atténuation des infra-sons entre 1.8 et 6.4 km. Dans certains exemples, les pics de pression mesurés étaient même plus forts à 6.4 km qu’à l’intérieur de maisons situées plus près des éoliennes. J’espère que ces informations seront largement distribuées et utilisées pour éduquer autant de monde que possible sur le bruit et les impacts des fluctuations de pression mais aussi sur les données acoustiques récentes concernant les grandes éoliennes.» Témoignages d’expert et de victimes sur http://waubrafoundation.org.au
Nous sommes effectivement une majorité à ne pas entendre les infrasons de ces éoliennes industrielles, ce qui ne veut pas dire que notre organisme ne les ressent pas. Mais même si ces infra-sons n’avaient aucun effet sur la quasi totalité de la population, est ce que cela justifie la non prise en compte du calvaire des rares personnes qui en souffrent ?
Nous donnons la parole à Hubert de Bonneville, rédacteur occasionnel de STRADA La vie d’ici et victime du Syndrôme éolien. Des acousticiens anglais m’ont déjà dit que les infrasons d’éoliennes géantes se propagent de manière beaucoup plus forte en terrain accidenté, comme ici dans notre région, qu’en terrain plat (comme dans les mesures de Les Huson en Australie). D’autre part, lorsque j’étais à la Chapelle-en-Valgaudemar, en train de chercher un endroit pour vivre à l’abri, deux malheureuses éoliennes ont suffi à m’empêcher de dormir à 22 km de distance, lorsque le vent amenait leurs infrasons jusqu’en haut de cette vallée perdue où il n’y a strictement aucune source de bruit quelconque et où, comme chez moi à St Julien Chapteuil, ou au Puy, ou n’importe où alentour, le silence est « normal » lorsque ces machines se taisent, ce qui est rare. Autour du Puy, les éoliennes de Freycenet-la-Tour au pied du Mézenc, et les 9 autres à Saint Jean-Lachalm arrosent de leurs infrasons, que j’entends, absolument chaque mètre carré de toute la région environnante, y compris toute la ville du Puy, tout Brives-Charensac, etc., à plus de 25 km à la ronde, au gré des vents, de la pression atmosphérique du moment et de la diminution de la rumeur des activités humaines, en ville, la nuit. On n’y échappe pas. Les acousticiens savent qu’on n’arrête pas les infrasons s’ils dépassent un certain seuil. Or, l’effrayante puissance des éoliennes géantes fait voler ce seuil en éclats. Pour ma part, après 5 ans de cauchemar quotidien, j’ai perdu maison, travail et tout le reste et je cherche, avec difficulté, un endroit loin, très loin, à l’abri de ces aberrations « écologiques » qui détruisent la vie des personnes ayant le malheur d’être sensibles aux infrasons terribles qu’elles émettent pour « sauver la planète »…
Manifestement, certaines personnes ne font plus partie de cette planète. Rien de bien nouveau, hélas… Les lobbies financiers éoliens, l’Etat, les hommes et femmes politiques et les autorités médicales officielles (mais pas tous les médecins) gardent pourtant le silence. Il leur suffit la plupart du temps, avec l’aide active des lobbies financiers de l’éolien, de se convaincre que les gens démolis par ces éoliennes ont des « problèmes psychologiques » ou « ne sont jamais contents » ou, dernière trouvaille de la propagande éolienne, sont victimes de « nocebo », un concept fumeux inventé récemment pour renverser la charge du crime sur ses victimes.
Vous n’avez pas idée de la facilité avec laquelle ces divers mensonges marchent… Plus ils sont gros, plus ils marchent. Leur but est de faire avaler une énorme couleuvre à une population bernée, tout en décrédibilisant les quelques personnes qui payent le prix de leurs mensonges. Pendant des millions d’années, l’être humain a fait évoluer son organisme de façon à ce qu’il n’entende ni
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ne ressente les infrasons naturels ou ceux que son propre corps émet, pour la bonne raison que ces infrasons sont très dangereux pour sa survie. Or, les éoliennes tripales actuelles font éclater le seuil de tolérance aux infrasons de l’oreille humaine d’une manière effarante. L’analogie avec la radioactivité est évidente… L’homme s’est construit pour supporter sans broncher la radio activité naturelle de la Terre et il ne viendrait à l’idée de personne d’en rajouter une énorme couche artificiellement, même au nom de quoi que ce soit. C’est pourtant ce qui a été décidé pour les infrasons avec ces violentes éoliennes géantes. On connaît pourtant les effets dévastateurs des infrasons sur l’organisme humain depuis les années 60. La manière dont ceux qui se sont battus – et se battent tous les jours — pour nous protéger du danger nucléaire nient la dangerosité effective des infrasons de ces éoliennes est absolument incompréhensible. De la part des requins de la finance, peindre en vert leurs propres intérêts pour faire du profit sur notre dos n’est pas étonnant. Mais la soumission, terriblement consciente ou inconsciemment béate, de vrais et sincères « défenseurs de la planète » à une logique de développement de cet éolien-là qui détruit concrètement et de manière industrielle la vie d’un nombre désormais conséquent de personnes dans le monde, cette soumission décrédibilise complètement la vision humaine du développement qu’ils défendent, décrédibilise définitivement les « responsables » écologiques qui laissent faire et, beaucoup plus dangereux, décrédibilise la notion même d’écologie, dont on a pourtant bien besoin.

samedi 16 novembre 2013

Éolien : le couple franco-allemand disjoncte




Cette semaine,  Berlin vient d'annoncer sa volonté d'arrêter le développement de l'éolien en Allemagne. (1)
Depuis 2001 l’Allemagne  sert de modèle aux dirigeants de notre pays pour justifier la politique de développement de l’éolien  en France avec comme argument fondamental : "La France est en retard sur l’Allemagne".
Cette décision met en lumière  l'absurdité du programme français actuel dont l'historique est le suivant:

En  2001 les ministres de l’écologie  Dominique Voynet, Yves Cochet et le conseiller politique Denis Baupin ont justifié le lancement du programme éolien français en se référant à l’Allemagne et en mettant en place un système de ponction économique des consommateurs à travers un système de tarifs de l’électricité.

De 2007 à 2012, le développement éolien a été accéléré par les Ministres de l’environnement Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosiusco Morizet, organisateurs du  "Grenelle de l'environnement". Pour atteindre les objectifs de 19.000 Mégawatts, soit environ 12.000 éoliennes terrestres, Jean-Louis Borloo a imposé aux préfets, sous peine de sanctions, des quotas annuels d'éoliennes à implanter par département.

Depuis 2012, le programme de la "Transition Énergétique" de François Hollande  a amplifié le développement éolien sans en faire le bilan.  Le nombre d'éoliennes terrestres pourrait atteindre 25.000,  impacter  36.000 communes déclarées arbitrairement propices à leur implantation et dégrader plus de la moitié des paysages de la France.

Ce programme est actuellement porté par le député socialiste  François Brottes qui tente de faire voter,  au mépris des fondements mêmes de la démocratie, des nouvelles lois  ayant pour objectif de supprimer les dernières barrières juridiques qui protègent encore la population. Il a pour appui des élus socialistes Roland Courteau, Philippe Plisson, et  les  dirigeants du parti Europe Écologie les Verts, Denis Baupin, Jean-Vincent Placé et la ministre Cécile Duflot.

Depuis  2001 l’Agence de Maitrise de l’Energie (ADEME) organisme public dépendant du ministère de l’écologie, a été pilotée par un de ses anciens directeurs, Jean Louis Bal  nommé  depuis 2011 Président du syndicat des promoteurs éoliens.
Contrairement à son devoir normal d'impartialité, cette agence  a fait le nécessaire pour inonder la France de documentation « pro éolienne », directement inspirée par les  syndicats des promoteurs.  Elle a vanté sans réserve les merveilles du modèle allemand au profit des seuls promoteurs et au détriment des citoyens.

Aujourd’hui, partout en France, la lutte  civique anti éolienne prend  une ampleur importante, non seulement avec l’appui de la Fédération Environnement Durable forte de ses 900 associations mais  aussi grâce aux associations du patrimoine qui dénoncent avec fermeté  le saccage inutile de notre pays et le désastre économique qui l'accompagne. (2)
Compte tenu des faits récents il n'est pas possible que la France poursuive  cette politique éolienne obsolète, ruineuse et destructrice, alors que l'Allemagne qui  est "en avance" est en train de l'arrêter.



1) Le Monde.fr avec AFP | 11.11.2013: Berlin veut freiner les subventions aux renouvelables

(2)  Le Parisien |11.11.2013 : la France de Monuments se bat contre les éoliennes

 

mercredi 6 novembre 2013

Accident mortel



29 octobre 2013
Journal danois elstrabaldet
Accident mortel en hollande. Incendie d'une éolienne Vestas. 2 techniciens travaillant dans la nacelle sont morts
http://ekstrabladet.dk/112/article2135444.ece
(Traduction rapide de l'article danois )

Deux jeunes mécaniciens ont perdu la vie dans un tragique accident en Hollande, où le feu a éclaté dans une turbine du fabricant danois Vestas . C'est arrivé Piet de Wit centrale éolienne dans la ville Ooltgensplaat mardi après-midi .

- Les victimes travaillaient dans la partie supérieure de l'éolienne . Mardi 29 octobre 2013, pour des raisons inconnues , le feu a pris au sommet  de l'éolienne  , a déclaré dans un communiqué  la police néerlandaise
Les deux jeunes mécaniciens vérifiaient  régulièrement les éoliennes  après une forte tempête lorsque le feu  a éclaté ici pour une raison inconnue.
L'une des victimes a chuté  et a été retrouvé sur le sol à côté de l'éolienne.
Dans un premier temps, l'autre personne a été portée disparue , a indiqué la police .

Un grand cri

Au moment de l'accident, Cornelis Moss Elman , un agriculteur local, était proche de l' éolienne qui mesure  67m de haut
- J'ai vu deux mécaniciens qui se sont assis sur le bout de la turbine, quand, soudain, il y eut une épaisse fumée noire. La turbine a commencé tourner , les mécaniciens ont commencé à crier , alors que les deux parties de l'éolienne  flechissaient  , a expliqué Cornelis Moss Elman à la chaine de télévision RTV Hollande
"- Il y avait beaucoup de panique . Personne ne savait comment résoudre la situation, a-t-il dit ".

Immédiatement après que ce sinistre s'est produit , les services d'incendie  sont arrivés . Mais parce que le feu avait eu lieu dans la partie supérieure de l'éolienne , il n'y avait pas grand chose à faire.
C'est pourquoi les premiers pompiers n'ont pu  accéder au sommet de l'éolienne que mardi soir à l'aide d'une grande grue.
- C'est là qu' ils ont trouvé les restes de la personne disparue , a écrit la police dans un communiqué de presse .

Une affaire déchirante

Les deux jeunes mécaniciens qui travaillaient dans l'entreprise faisaient partie de l'équipe de service Bettink de service à Barneveld , celui ci  a publié un communiqué de presse mercredi après-midi .
Il a été précisé qu'il s'agissait de deux hommes de seulement 19 et 21 ans.:
"La perte de deux collègues est indescriptible et déchirante . Nos plus sincères condoléances aux familles des deux employés , écrivent-ils".

Les autorités néerlandaises étudient  actuellement la cause de l'accident à l'usine, pour ce modèle Vestas  V66 -1.75 MW.
Même si la turbine n'est plus sous la responsabilité de Vestas , le fabricant danois d'éoliennes a offert d'apporter son concours à l'enquête.
Vestas déplore les  deux morts , et tient à exprimer ses condoléances à leurs familles . Bien que l'usine a fait l'objet d' un contrat de service Vestas depuis mai 2008, Vestas a offert d'aider le propriétaire concernant l'enquête sur la cause de l'incendie , écrit Vestas dans un courriel à Ekstra Bladet .
Il n'y a eu aucun décès au Danemark  et Vestas ne veut pas dire combien de fois leurs turbines sont impliqués dans des accidents.
Cette société ne veut pas  communiquer . Son explication  est que les incendies dans des éoliennes sont classés très différemment, et qu'il peut  il peut y avoir des feux plus ou moins importants , et que cela n'a aucun sens de mettre un chiffre sur le nombre d'incendies .
Selon leurs statistiques concernant les risques professionnels il n'y a  jamais eu de  décès associé à des éoliennes et le nombre d'accidents enregistrés au Danemark dans la fabrication d'éoliennes a baissé  au cours de la dernière année. En 2007 a avait été enregistré à 626 dommages dans le cadre de la fabrication d'éoliennes . L'année dernière, le nombre à été seulement de 161.

Mais une des raisons qui peut expliquer la forte baisse peut c'est qu'en plus d'une sécurité accrue  il y a  moins d'employés dans l'industrie au Danemark qu'il y a six ans.

lundi 7 octobre 2013

Nord Pas de Calais :La justice ordonne la démolition de 10 éoliennes



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La Compagnie du Vent, poursuivie par un couple, a quatre mois pour retirer ses éoliennes et doit lui verser 37.500 euros. Une décision rare.
A la lutte du pot de fer contre le pot de terre, c'est le second qui, cette fois, a gagné. Un couple d'habitants du Nord-Pas-de-Calais vient de vaincre un goliath de l'énergie éolienne qui avait planté ses géantes autour de sa propriété du XVIIIème siècle, le château de Flers, classé monument historique. La Compagnie du Vent, appartenant au groupe GDF-Suez, vient d'être condamnée en première instance par le TGI de Montpellier à démolir 10 de ses éoliennes dans un délai de quatre mois, après quoi une amende de «500 euros par jour de retard et par éolienne» sera exigée. La société doit également indemniser 37.500 euros au couple pour le préjudice subi depuis juin 2007, date de mise en service du parc éolien sur les deux sites voisins de la propriété, à Conchy-sur-Canche et à Boubers-sur-Canches. Les époux, qui avaient acheté leur propriété en 1993, avaient multiplié les recours, sans succès.
«Cette décision est très importante car elle montre à tous ces gens qui supportent les éoliennes avec un sentiment d'impuissance que la lutte n'est pas vaine, même face aux grands groupes ou aux autorités qui délivrent des permis de construire, que le recours est ouvert à tout le monde, qu'on a le droit de vivre en paix, qu'on peut faire autrement que subir», réagit Me Philippe Bodereau, avocat des plaignants. Et cela sans distinction de la valeur du bien, à en croire le jugement, du château classé à la simple maisonnette. En effet, le caractère patrimonial et historique n'a pas compté pour le tribunal qui a retenu des «critères de nuisance» plus tangibles: un préjudice esthétique «de dégradation de l'environnement résultant d'une dénaturation totale d'un paysage bucolique et champêtre», dit le jugement, un préjudice auditif «dû au ronronnement et sifflement des éoliennes», et enfin un préjudice d'atteinte à la vue «dû au clignotement de flashes blancs ou rouges toutes les deux secondes, de jour et de nuit». Pour le tribunal, «le caractère tout à fait inhabituel, permanent et rapidement insupportable crée un préjudice dépassant les inconvénients normaux de voisinage, constituant une violation du droit de propriété».



COMPLEMENTS

Boubers et Conchy : pour ou contre le démontage éoliennes ? Vos avis sont partagés !

En complément d'informations sur les 2 parcs éoliens à détruire, et que les médias se gardent de diffuser :
Dans l'axe du chateau : "parc éolien des tambours" sur Monchel-sur-Canche, situé entre 3 km et 4 km.
3 éoliennes sur Monchel-sur-Canche
2 éoliennes sur Conchy-sur-Canche
Ces 5 éoliennes sont sur les terres du Maire de Monchel-sur-Canche, maire en exercice à l'époque du projet et toujours en exercice...
Ce parc est installé dans la "vallée de la Canche", sur un axe de migration majeur, le Préfet avait admis "après coup" qu'il avait commis une erreur d'appréciation.
Le 2ème parc,"Parc des Campagnes" est entre 900 et 1500 mètres au sud Est du chateau, sur la commune de Boubers-sur-Canche.

Le château en question :

Ce château en ruine fut acheté par un couple de Flamand, qui a investit depuis de nombreuses années toute sa fortune et son temps dans la rénovation de ce château. Ce sont des gens simples et accessibles, qui ont su sauver notre patrimoine. Le mari a effectué lui même une grosse partie des rénovations ! Cette victoire est plus que méritée ! Sans eux, ce château ne serait qu'un lointain souvenir. L'installation de ces éoliennes fut une déchirure pour ce couple. Très bon article ici :
http://www.echo62.com/article-chateau-de-flers-le-proprietaire-sait-tout-faire Il faut signaler que toute la population aux alentours subit ces nuisances, mais les journalistes de France3 NpdC ont préféré aller interviewer la population passive et ignare de Fauquembergues (à 40 km) ! Lamentable ! X.G.