« il faut compter 8 à 10 ans » d’après Mathieu Mamers, la faute aux recours quasi systématiques des riverains comme à St Christophe en Bresse et l’Abergement Ste Colombe : « leurs arguments sont assez récurrents : le paysage, le manque de vent… Souvent, ça va jusqu’en justice voire devant le Conseil d’Etat, mais les projets, désormais bien complets, gagnent presque toujours » se félicite le représentant de la filière qui ne cherche plus l’affrontement avec les populations mais plutôt le dialogue avec les élus, plus faciles à convaincre, notamment avec l’argument des retombées financières : le travail d’entreprises locales sur le chantier pendant 6 à 9 mois et la taxe professionnelle, à se partager avec le conseil général.
c'est vrai que la décision n'appartient pas à ces pauvres riverains qui, apres tout, ne font que vivre sur ces lieux...... C'est fou comme il est plus facile de juger du confort des autres plutot que du sien..... Traduction de l'article : causez, causez, de toute facon nous ferons ce que nous voulons. Un débat ne sert pas à occuper les gens mais à faire progresser un point de vue, une négociation..... (enfin c'est ce que l'on apprend dans les "petites écoles" ; et oui apparemment dans les "grandes" cela à l'air différent....). Je ne pense pas que les riverains soient fermés à la réflexion. Cela étant dit, lorsque que vous êtes attaché au "pays" dans lequel vous vivez, voire vous êtes nés, cette situation est clairement vécue comme une agression. Alors mesdames et messieurs les Elus considérez vos responsabilités au service des personnes qui vous ont confiés ces "dites" responsabilités et ne vous réfugiez pas dans la facilité....
Voici un article de infos-chalon à faire bondir !
RépondreSupprimerhttp://www.infos-chalon.com/article.php?sid=39538&thold=0
J'adore le paragraphe :
« il faut compter 8 à 10 ans » d’après Mathieu Mamers, la faute aux recours quasi systématiques des riverains comme à St Christophe en Bresse et l’Abergement Ste Colombe : « leurs arguments sont assez récurrents : le paysage, le manque de vent… Souvent, ça va jusqu’en justice voire devant le Conseil d’Etat, mais les projets, désormais bien complets, gagnent presque toujours » se félicite le représentant de la filière qui ne cherche plus l’affrontement avec les populations mais plutôt le dialogue avec les élus, plus faciles à convaincre, notamment avec l’argument des retombées financières : le travail d’entreprises locales sur le chantier pendant 6 à 9 mois et la taxe professionnelle, à se partager avec le conseil général.
Ca promet...
c'est vrai que la décision n'appartient pas à ces pauvres riverains qui, apres tout, ne font que vivre sur ces lieux......
RépondreSupprimerC'est fou comme il est plus facile de juger du confort des autres plutot que du sien.....
Traduction de l'article : causez, causez, de toute facon nous ferons ce que nous voulons.
Un débat ne sert pas à occuper les gens mais à faire progresser un point de vue, une négociation..... (enfin c'est ce que l'on apprend dans les "petites écoles" ; et oui apparemment dans les "grandes" cela à l'air différent....).
Je ne pense pas que les riverains soient fermés à la réflexion. Cela étant dit, lorsque que vous êtes attaché au "pays" dans lequel vous vivez, voire vous êtes nés, cette situation est clairement vécue comme une agression. Alors mesdames et messieurs les Elus considérez vos responsabilités au service des personnes qui vous ont confiés ces "dites" responsabilités et ne vous réfugiez pas dans la facilité....